Anti G8 "Universités"

A Dijon, les 5, 6 et 7 mai 2011

Contre-sommet "Education - Recherche"

Site du contre G8 Contre-G8

 

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Communiqué de presse du 30 avril

Face au G8 des universités, toutes et tous à Dijon les 5, 6 et 7 mai !

Le sommet mondial des universités devrait se dérouler à Paris les 5, 6 et 7 mai prochains.
Soyons encore plus nombreux à faire entendre nos voix au contre-sommet de Dijon !

La première partie du G8/G20 (sommet mondial) des universités s'est tenue, comme prévu, à la saline royale d'Arc-et-Senans, en Franche-Comté. Lors de la soirée d'ouverture au Musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon, un dispositif policier sans précédent a été déployé. La préfecture semble avoir jugé que des dizaines de cars de CRS et des dispositifs anti-émeutes étaient nécessaires pour protéger les pseudo-délégués de ce sommet contre les "hordes barbares et déchaînées" : quelque 80 manifestant-e-s armés de tracts et de banderoles, rassemblés sur un pont de la ville. Nous communiquera-t-on le coût d'une telle opération ?

Quelle autre preuve faudrait-il pour démontrer que, contrairement aux dénégations des deux présidents du Pôle de Recherche et d'Enseignement Supérieur (PRES) Bourgogne - Franche-Comté, leur sommet est bien un G8 ?

Le G8 des universités 2011, organisé par la Conférence des Présidents d'Université (CPU), ressemble de plus en plus à une farce ! La paranoïa des dirigeant-e-s conduit à placer les villes en état de siège. Cette surenchère sécuritaire ne rend que plus saillante l'absence de légitimité démocratique de ces réunions qui se déroulent à huis-clos, loin du regard des étudiant-e-s, des personnels et de l'ensemble de la manifestation.

Le sommet initialement prévu à Dijon sera délocalisé à Paris, mais le lieu exact est tenu secret et ne sera pas révélé, probablement, avant la dernière minute.

A Dijon, nous maintenons le contre-sommet les 5, 6 et 7 mai. Celui-ci constituera un espace d'échanges pour réfléchir à une alternative à la libéralisation de l'éducation et de la recherche.

La mobilisation de toutes et tous doit passer à la vitesse supérieure ! Nous lançons un nouvel appel à toutes les organisations politiques, syndicales, associatives, à toutes les personnes désireuses de promouvoir une éducation émancipatrice tout au long de la vie et une recherche indépendante et critique, à amplifier la mobilisation et à nous rejoindre à Dijon lors de ce contre-sommet.

Les débats, conférences, assemblées et manifestations se dérouleront donc bien aux dates et lieux prévus. Face à la reculade de l’État qui utilise le prétexte habituel de la sécurité, avançons et emparons-nous de l'espace pour débattre sur l'éducation et la recherche que nous désirons réellement.

Nous nous donnons toutes et tous rendez-vous sur le campus dijonnais de l'Université de Bourgogne les 5, 6 et 7 mai, ainsi qu'à la manifestation samedi 7 mai, départ 14h00 du Campus, 14h30 de la Place Wilson.

Le savoir n'est pas une marchandise, l'université n'est pas une entreprise, les étudiant-e-s ne sont pas des client-e-s !

 

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Programme du contre-sommet Education-recherche

Pour une éducation émancipatrice tout au long de la vie,
Pour une recherche indépendante, au service de tou-te-s.

Du 5 au 7 mai 2011, à Dijon : Ateliers, forums, conférences, ...

Mercredi 4 mai, 18h-20h, amphi Eicher, pôle AAFE (Campus) :
Soirée d'ouverture autour du livre Résister à la chaîne (Michel Pialoux, Christian Corouge)

Jeudi 5 mai, de 13h à 20h, IUT (Campus) :
13h : Précarité (FSE, SNASUB-FSU, Ferc-CGT : Isabelle Clair)
13h : Indépendance (Ferc-CGT : Jean Kister, Daniel Steinmetz, SNESUP-FSU)
17h : Pensée dominante (ATTAC : Aurélie Trouvé, Daniel Rallet, NPA)
17h : Démocratisation (AMEB, SNESUP-FSU)
17h, amphi du Pôle Économie et Gestion  : Barricades au XIXe siècle (Mark Traugott, historien-sociologue américain)

Jeudi 5 mai, 20h30, cinéma Eldorado (rue Alfred de Musset)
Projection/débat de (G)rêve général(e) de M. Chatellier et D. de Felice,
suivie d'un concert d'Alain et Jeff (chansons libertaires)

Vendredi 6 mai, de 9h à 20h, IUT (Campus) :
9h : Excellence, concurrence (CNT, SLR, SLU : Étienne Boisserie, SNESUP-FSU : Marc Neveu, SNCS : Chantal Pacteau)
9h : Pédagogies alternatives (Sisa Scuola, CEMEA)
13h : Services publics Éducation et Recherche (Institut FSU : Gilbert Dalgalian, EGSP : Jean-Michel Drevon, Ferc-CGT : Daniel Steinmetz, NPA, Solidaires : Nicolas Galepides)
17h : Éducation et société, l'école en Europe (Institut FSU : Christian Laval, ATTAC)
17h : Sciences et démocratie (Séminaire Politiques des sciences : Jean-Michel Fourniau-CNRS, IFSTTAR-DEST ; Lionel Larqué-fondation Sciences Citoyennes et Forum Mondial Sciences et Démocratie)

Vendredi 6 mai, de 9h à 20h, Pôle AAFE (Campus) :
9h : Professionnalisation (FSE, SNESUP-FSU : Georges Solaux)
13h : Processus de Bologne (UEC)
13h : Mobilité (Migreurop, RUSF, SNASUB-FSU)
17h : Répression, résistance (Chercheurs sans frontières, Évelyne Perrin, SNESUP-FSU : Isabelle Bruno, SNES et SNUipp-FSU)

Vendredi 6 mai, 20h30, Maison des associations (rue des Corroyeurs) :
Le rôle des compétences dans l'école néolibérale (Angélique del Rey)

Samedi 7 mai, à partir de 9h, amphi Aristote, fac droit-lettres :
Assemblée générale plénière du contre-G8 : Débat pour une déclaration commune
Manifestation : Départ à 14 h du Campus, puis à 14h30 de la place Wilson

A l'appel de : Alternatifs, AMEB, ATTAC, CNT-FTE, CUAE, Europe écologie-Les Verts, FASE, Ferc-CGT, FSE, FSU, FSL 21, MRC, NPA, Organisation Démocratique de l’Enseignement-ODT (Maroc), PCF, PG, RUSF21, RUSF Franche-Comté, Sauvons La Recherche, Sindicato Indipendente Scuola e Ambiente (Italie), SNASUB-FSU, SNCS-FSU, SNESUP-FSU, Solidaires, Solidarités 21, SUD Éducation, SUD Étudiant, SUD Recherche EPST, UEC, UNEF, Unicobas Scuola (Italie), ...

Soutien financier : envoyez vos dons à ATTAC 21, Maison des associations, Boîte S7, 2 rue des Corroyeurs, 21068 Dijon Cedex

 

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Communiqué d'Attac, du SNCS-FSU, du SNESUP-FSU, du SNTRS-CGT et de Solidaires - 26 avril 2011

Le Contre-G8 éducation recherche est maintenu !

La seconde partie du "G8-G20 des universités", rebaptisé "Sommet mondial des universités", devait se dérouler du 5 au 7 mai à Dijon à l'Université de Bourgogne. Elle vient d'être reportée voire annulée, sur demande de la mairie de Dijon ; laquelle, s'inquiétant très tardivement des dangers que présenterait le chantier du tramway, craint que "la sécurité publique en marge des manifestations" ne soit pas assurée.
Ceci ne modifie en rien notre détermination à dénoncer un G8-G20 illégitime, moteur de la mondialisation néolibérale, et un "G8-G20 des universités" participant, depuis sa création en 2008, à la marchandisation de l'éducation et de la recherche.

L'éducation et la recherche dans le monde subissent une restructuration néolibérale et sont ainsi détournées de leurs missions, qui plus est en contournant tout réel processus démocratique. A l'heure où ce service public subit un plan d'austérité et des suppressions de postes massives presque partout en Europe et dans le monde, de la maternelle à l'université, ce contre-sommet vise à donner la parole aux citoyens et à échanger sur des alternatives en faveur d'une éducation et d'une recherche de qualité, au service d'une société libre, démocratique et solidaire. Une éducation et une recherche libérées de la "compétitivité" et de la logique faussement dénommée de "l'excellence", qui ont pour traductions concrètes des restrictions budgétaires et la mise en concurrence généralisée entre chercheurs, entre enseignants, entre établissements, entre régions et entre États.

Le contre-G8 ne doit pas être compromis, par l'interdiction de la manifestation, la privation des locaux de l'université ou celle des terrains d'hébergement. Nous tenons à maintenir ce contre-sommet : la première partie du sommet du G8-G20 des Universités à Besançon n'est pas déprogrammée ; les organisations de citoyens de nombreuses régions sont attendues à Dijon, plus de 1000 étudiants se retrouveraient sans campement possible et l'annulation du contre-sommet ne pourrait être vécue que comme une provocation et une nouvelle confiscation d'un vrai débat entre citoyens sur des questions qui touchent toute la société. Elle serait également un très mauvais signe envoyé à toutes les organisations mobilisées contre le G8-G20, sous le slogan "Les peuples avant, pas la finance !", durant toute cette année de présidence française.

 

Communiqué du 23 avril du collectif dijonnais d'organisation du contreg8 de l'éducation et de la recherche

Annulation du G8 des universités à Dijon mais la marchandisation de l'éducation et de la recherche continue.

Le contre-sommet est maintenu !

Dans une dépêche de l'agence AEF du 21 avril, la présidente de l'Université de Bourgogne défendait son choix d'organiser le G8 (rebaptisé "sommet mondial") des universités à Dijon. Selon elle, il n'y serait nullement question de marchandisation de l'enseignement supérieur car les pays invités ne se limitaient pas aux seuls 8 plus riches, ni même 20 plus riches de la planète. Ces propos font écho à l'attitude du président de l'Université de Franche-Comté, décrite dans un article de l'Est républicain du 19 avril. Celui-ci aurait "pris ses distances avec l'impopulaire G20 politico-économique".
La présidente de l'UB déclarait également avoir été "tout à fait favorable" à l'organisation d'un contre-sommet car "Cela permet à la communauté universitaire de s'emparer de ces sujets et de leur donner une expression complémentaire, au-delà des seuls présidents et recteurs".
Ces déclarations vertueuses de la part des deux présidents contrastent singulièrement avec les actions au caractère foncièrement néo-libéral qu'ils ont entreprises au cours des derniers mois : choix de répondre aux appels d'offre du Grand Emprunt de Nicolas Sarkozy, création d'une Fondation de Coopération scientifique, au président payé 100000 euros, sans représentants des personnels et étudiants au Conseil d'Administration mais aux chefs d'entreprises bien présents, lancement de "l'Université fédérale" appelée à redéfinir toute la carte des formations dans un contexte de restrictions budgétaires tous azimuts, etc.

Le 22 avril, nous apprenons que la deuxième partie du Sommet mondial des universités est annulée, ou reportée, sur demande du maire de Dijon.Celui-ci invoque une hypothétique menace des anarchistes autonomes. Le pseudo "sommet mondial des étudiants" de Besançon devrait, quant à lui, se dérouler comme prévu du 28 au 30 avril.
Ces menaces, peut-être fantasmées, ne doivent pas masquer l'essentiel : les politiques impulsées par le G8/G20 sont néfastes et honnies par l'immense majorité de la population mondiale. Nos politiques locaux le savent bien, tout comme nos présidents d'universités. Cette annulation traduit sans doute une gêne face à l'absence de légitimité démocratique de ces grand' messes.

Les actions prévues à Besançon pour coïncider avec la première partie du sommet sont maintenues. Les débats, conférences, ateliers, tables rondes, projections, concerts prévus à Dijon du 5 au 7 mai sont maintenus. Parce que nous pensons que l'Université doit être un lieu ouvert, formant à l'esprit critique, à la réflexion, nous appelons la présidente de l'UB à honorer ses promesses pour que cette "excellente" initiative puisse se dérouler dans les meilleures conditions.
Enfin, parce que nous pensons que la marchandisation du savoir et de l'enseignement est néfaste, contre-productive et rejetée par l'immense majorité, nous appelons à une grande manifestation samedi 7 mai, départ 14h00 du Campus, 14h30 de la Place Wilson.

Collectif d'organisation du contre G8 de l'Éducation et de la Recherche (Alternatifs 21, AMEB, ATTAC21, ATTAC Besançon, CNT21, CUAE, FASE, FSU21, Forum social local21, NPA21, RUSF21, RUSF Franche-Comté, SNASUB-FSU 21, SNESUP 21, Sud éducation Franche-Comté, UEC 21, UGED-FSE, Individu-e-s)

 

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Communiqué de presse du 13 avril

La France présidera les G8 et G20 en 2011. Du 28 au 30 avril à Besançon et du 5 au 7 mai 2011 à Dijon se déroulera le G8 des Universités, volet éducation et recherche du G8-G20 qui aura lieu à Cannes en novembre 2011. Le G8-G20 est le moteur de la mondialisation néolibérale ; il définit l’agenda politique qui est ensuite mis en œuvre par toutes les grandes organisations internationales. Dans ce contexte, le « G8 des Universités » est d’apparition récente puisque l’édition 2011 de Dijon/Besançon sera la quatrième.
A tous les niveaux, l’éducation et la recherche publiques subissent une dégradation accélérée. Elles sont parmi les services publics fortement touchés par les intérêts du capitalisme, tant à l’échelle européenne qu’à l’échelle mondiale. Sous le prétexte facile de politiques d’austérité, l’Union Européenne et les instances libérales internationales mettent en place des réformes sociales et pédagogiques destructrices. De la maternelle à l’université et pour ce qui concerne la recherche, la tendance est de faire de l’enseignement et de la recherche une marchandise intégrée au marché capitaliste avec pour conséquences le diktat d’une économie de la connaissance, la généralisation d’une pensée unique et totalisante, une aggravation des inégalités sociales, des conditions de travail rabaissées, des droits syndicaux bafoués, libertés académiques (recherche et enseignement) menacées, etc. Le constat est identique en Europe et ailleurs. La France, la Grèce, l’Italie, la Grande-Bretagne, l’Espagne, le Portugal, la Suisse, l’Autriche et d’autres pays sont déjà entrés en lutte contre ces politiques de marchandisation du savoir.
Pour s’opposer à la marchandisation de l’éducation et de la recherche et apporter une réflexion alternative sur l'éducation, tous les signataires appellent à un contre-sommet de l'éducation et de la recherche à Dijon les 5, 6 et 7 mai 2011 et invitent à des actions, manifestations, rassemblements partout où cela sera possible durant toute la période du G8 éducation/recherche qui démarrera le 28 avril à Besançon.

 

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Appel à un contre G8 de l’éducation et de la recherche

Janvier 2011

La France présidera les G8 et G20 en 2011. Du 28 au 30 avril à Besançon et du 5 au 7 mai 2011 à Dijon se déroulera le G8 des Universités, volet éducation et recherche du G8-G20 qui aura lieu à Cannes en novembre 2011.

Le G8-G20 est le moteur de la mondialisation néolibérale ; il définit l’agenda politique qui est ensuite mis en œuvre par toutes les grandes organisations internationales. Dans ce contexte, le "G8 des Universités" est d’apparition récente. L’édition 2011 de Dijon/Besançon sera la quatrième. Alors que les trois premiers s’étaient concentrés sur le thème très consensuel du "développement durable", l’objectif affiché du G8 des Universités de 2011 est de planifier la marchandisation de l’éducation et de la recherche. Cette politique d’amplitude internationale détruit déjà le service public d’éducation et de recherche qui offre des garanties minimales en termes d’accès aux études supérieures.

A tous les niveaux, l’éducation et la recherche publiques subissent une dégradation accélérée. Elles sont parmi les services publics fortement touchés par les intérêts du capitalisme, tant à l’échelle européenne qu’à l’échelle mondiale. Sous le prétexte facile de politiques d’austérité, l’Union Européenne et les gouvernements mettent en place des réformes sociales et pédagogiques destructrices. De la maternelle à l’université et pour ce qui concerne la recherche, la tendance est de faire de l’enseignement et de la recherche une marchandise intégrée au marché capitaliste avec pour conséquences le diktat d’une économie de la connaissance, la généralisation d’une pensée unique et totalisante, une aggravation des inégalités sociales, des conditions de travail rabaissées, des droits syndicaux bafoués, libertés académiques (recherche et enseignement) menacées, etc.

Le constat est identique en Europe et ailleurs. La France, la Grèce, l’Italie, la Grande-Bretagne, l’Espagne, le Portugal, la Suisse, l’Autriche et d’autres pays sont déjà entrés en lutte contre ces politiques de marchandisation du savoir. Présentes dans les pays où les réformes sont en cours et ceux où le système d’éducation et de recherche est déjà réformé, ces luttes et leurs revendications sont transnationales. Pour mieux contrer les attaques, il convient de regrouper nos forces de réflexion et d’action. Pour nous, il est urgent d’organiser une résistance globale à laquelle participe ce contre G8 dont les objectifs sont :
* de mettre en lumière les questions sociales en lien avec le thème de l’éducation et de la recherche et de fournir un lieu pour l’échange d’expériences pratiques et de discussions théoriques, et des débats autour du rôle de l’éducation et de la recherche, des conditions de leur réalisation et de leurs impacts économiques, sociaux, politiques et environnementaux, aux niveaux local, régional et international.
* de faire entendre d'autres discours sur l'éducation et la recherche, de mettre l’enseignement et la recherche à l’abri de tous les groupes de pression et, dans ce cadre, de questionner la façon d’enseigner ou de rechercher, ainsi que la gestion des institutions de plus en plus formatées par des politiques économiques néolibérales, la compétition, la mondialisation des marchés, le consumérisme, la domination et l’exploitation des hommes et de la nature.
* de réaffirmer le pouvoir de l’éducation pour forger la conscience critique, réduire le fossé entre les cultures et les pratiques et libérer les populations de l’oppression, les sortir de l’isolement et de leur éclatement.

Nous proposons de réfléchir ensemble autour des axes suivants - qui ne sont bien sûr pas exclusifs :
- l’accès à l’éducation et à la recherche ;
- la précarisation ;
- l’excellence ;
- l’autonomie ;
- la professionnalisation ;
- la mobilité ;
- la situation des étudiant-e-s étranger-e-s ;
- les pédagogies alternatives ;
- les modalités de luttes ;
- l’éducation et la société.

Ce carrefour international entre les réseaux œuvrant dans les champs de l’éducation et de la recherche se veut être un moment fédérateur qui rassemblera des enseignant-e-s, étudiant-e-s, universitaires, chercheur-e-s, parents d’élèves, militant-e-s, et tous ceux et celles qui se sentent concerné-e-s par ces sujets, aux niveaux local, régional et international.
Nous appelons au Contre G8 de l’éducation et de la recherche qui se déroulera à Dijon du 5 au 7 mai 2011.

Collectif d’organisation du contre G8 de l’Éducation et de la Recherche :
Alternatifs 21, AMEB, ATTAC 21, CNT 21, CUAE, FASE, FSU 21, RUSF 21, RUSF Franche Comté, Snesup 21, Sud éducation Franche Comté, Sud étudiant, UEC 21, UEC, UGED-FSE, Forum Social Local 21, SNASUB-FSU 21, ATTAC France, PCF, SNESUP-FSU, FERC-CGT, NPA, Solidaires, Individu-e-s

Contacter le collectif d'organisation.

 

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